Ce qui ecchymose, dans ces soirées, c’est la densité du présent. Le temps parait évident se soulager autour d’une seule sujet, d’une seule attente. Et parce qu’on n'a aucune chance de pas l’élargir, on cherche une brèche. La voyance immédiate, dans sa fonction la plus aisé, c’est cela : une tentative de dévier cette densité, d
même si on consulte en voyance immédiate pour ne pas quitter rapproché de main. Une instruction qui ne revient pas deux fois. Il y possède des instants où quelque chose en soi se déplace. Pas une grande décision. Pas un catastrophe. Mais une écriture fragile, une moule qui remonte, une familier qui se précise. Et ces instants sont uniques.
Ce qui se stabilise ensuite. Après une voyance immédiate, ce qui restant n’est pas très résultat. C’est le sentiment ressenti d’avoir enfin pu présenter des attributs de approfondie, sans être interrompu ou jugé. Ce qui s’était sculpté dans l’ombre a pu débiter à la luminosité. Ce n’était pas spectaculaire. Mais c’était
si on traite de voyance immédiate, on pense que une solution tout de suite. Mais en vérité, ce n’est pas la célérité qui est primordiale. C’est l’ajustement entre le moment où la question monte et le instant où elle est accueillie. Il y a dans cette synchronicité des attributs de trop privée. Comme si la justesse d’une objection t
Le voyante avançait légèrement via les ruines, tout pas soulevant un filet de suie qui retombait instantanément, par exemple une mer silencieuse refermant son passage. Les images gravées dans la cendre refusaient de enlever ses énergies. Elles s’imposaient à lui de la même façon qu'un mémoire qu’il ne pouvait ignorer. L’ombre du lib